Leur production est un acte engagé : " Engagées pour sauvegarder des pratiques ancestrales, pour la diversité de la nature, des goûts et des personnes, pour la santé, pour le bien manger, se faire plaisir et faire plaisir, pour s’amuser et rire autour d’un repas, pour faire des grimaces, se voir et se toucher, pour s’embrasser ! "
Peu d'investissement sont nécessaires pour lancer l'activité : un atelier, des bocaux étanches et de la patience (3 semaines de fermentation) ! Un démarrage modeste (10/15 références de légumes et recettes) mais une conviction : "ces produits vivants" doivent trouver leur place (épiceries Bio, restauration ...).
L'association fait appel à l'Adie (association qui finance et accompagne tout type d'activité professionnelle par l'octroi de microcrédits - jusqu'à 12 000 euros) et à trois CIGALES - La Cigoulaine, CAC 44 et Déto'nantes - convaincues par leur projet (à hauteur de 9 000 euros) pour l'achat d'un vélo remorque.
Le développement passe désormais par plus de communication et plus d'événements pour faire connaitre le procédé et son intérêt nutritionnel (pas de cuisson, et des vitamines préservées). Peut-être les avez-vous croisées à l'autre marché à Nantes au mois de décembre ?
Pour découvrir leurs produits et leurs lieux de vente, c'est par ici : http://lesmainsvives.fr/
Michel Aymé, cigalier de Naon'aide